PETITS CONTES CRUELS

Pendant sept années, Anca Visdei a publié tous les samedis un "Petit Conte Cruel" dans la Gazette de Lausanne/Journal de Genève. Ces contes ont été repris dans plusieurs spectacles et livres. Les voici !

PETITS CONTES CRUELS

Le livre :

épuisé aux Éditions Club Zéro,

réédité aux Editions La femme pressée
ISBN 2-910584-08-9


L’ANGE DE MIDI et
autres contes où le diable s'en mele

Le livre :

épuisé aux Éditions Club Zéro,

réédité aux Editions La femme pressée
ISBN 2-910584-09-7


MORTEL BONIMENT

Le livre :

Éditions Clin d’œil, Lausanne

épuisé


PERMETTEZ, JE SUIS UNE EXCEPTION

Le livre :

Éditions du Sauvage, Lausanne

épuisé

Scènes :

Le spectacle Petits Contes Cruels a été présenté  à Paris, dans une mise en scène de l’auteur avec Séverine Poupin-Vèque et Vincent Wallez

- Au Train Bleu

- A la Fondation Suisse

La presse :

-« Toujours imprévisible, l’écriture de Anca Visdei joue sur la chute cocasse, le paradoxe…. Son humour fait triompher l’imaginaire en prenant la réalité par surprise, … Anca Visdei maîtrise avec brio cet art de la volte-face. »
Claire Jaquier - Journal de Genève


-« Eclatant d’un rire sain, léger et insolent, Anca Visdei nous assène crânement ses histoires brèves et vigoureuses, pétrissant la pâte des mots avec jubilation, avant de la découper au scalpel de son style incisif… une langue acérée où la tendresse le dispute à la cruauté. »
Simone Collet - Jours de France


-« Ce qui me paraît très remarquable chez Anca Visdei, c’est l’indépendance d’esprit… et l’originalité d’expression qu’elle atteint… La qualité que j’apprécie entre toutes dans « permettez, je suis  une exception » est l’humour.
Jean-Louis Kuffer - Le Matin


- « …une prouesse. Son livre est fait de petits textes, de fables surprenantes où elle se donne toute entière, petite, féminine, fragile et résistante tout à la fois… Elle fait courir sa plume sur l’épiderme des fausses certitudes et s’amuse en nous amusant de ce chatouillement salubre. »
Vincent Philippe – La Tribune


-« Un talent littéraire, c’est incontestable. »
Pierre Gripari - Ecrits de Paris