ELVIRA
ou Atroce Fin d'un Séducteur
suivie du Secret de Don Juan
et de Et Dieu créea ...l'homme

 

1er Prix au festival de l’Acte de Metz
Prix des rencontres théâtrales de Bulle (Suisse)

Le livre :

réédité aux Editions Femme Pressée/
Presses de Valmy

(première édition à Actes Sud Papiers)
Elvira ou Atroce Fin d'un Séducteur suivie du Secret de Don Juan et de Et Dieu créea ...l'homme
Réédité aux Éditions Lansman
ISBN 978-2-947720-91-4
Prix : 12,90 €




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Personnages :

4 personnages pouvant être interprétés par 3 comédiens
(1 femme et 2 ou 3 hommes)

L’histoire :

Entouré d'un véritable tableau de chasse (portraits, miniatures, mèches de cheveux, petits chaussons de danse, rubans et autres souvenirs de voyages au pays des femmes), Don Giovanni houspille nerveusement son valet Leporello, ganté de blanc, qui regarde souvent et plein d'inquiétude la pendule accrochée au mur. Sur la table, le couvert est mis pour deux : le Commandeur est attendu pour un "festin de pierre".
Mais les pas qui approchent n'ont rien du martèlement d'une statue. Apparaît Elvira, jeune écervelée sans foi ni loi, cousine de l'épouse mythique et homonyme de Don Giovanni, sœur cadette de Doña Anna, victime du séducteur, et donc fille du défunt Commandeur. Chevelure rousse, taches de rousseur, robe blanche. Ses plaisirs dans la vie : les gâteaux, l'argent et les contes de fées… dans cet ordre.

Versions :

Il existe également une version courte (un acte), intitulée « Dom Juan et l’ingénue libertine »

Traductions :

-Traduction en turc par Ferhan Sensoy
-Traduction en portugais par Adriano Bailadeira e Verónica Barat


Scènes :


Au Stuio Marcelin-Berthelot de Montreuil, à Senlis
et en tournée : le Don Juan amoureux
d'Anca Visdei

Elvira ou l'Atroce fin d'un séducteur
de Anca Visdei

Mise en scène : Jean-Claude SCIONICO

avec : Alix BENEZECH
(Zoé Nonn lors de la création)
Thierry CHARPIOT
Gilles MARTIN

Prieuré Saint-Maurice
impasse Baumé - 60300 SENLIS



"Atroce fin d'un Séducteur"
en portugais 
au Couvent de Santa Clara de Portoalegre

novembre 2009


Georges Richardeau
au Théâtre Notre-Dame d'Avignon
avec "Don Juan Autopsie d'un mythe"

sur des textes de
Anca Visdei, Eric-Emmanuel Schmidt, Molière, Tirso de Molina, etc...

-mise en scène de Benoît Vitse au Guichet-Montparnasse à Paris, reprise au Festival d’Avignon, tournée en Roumanie.
-création mondiale à l’Ortaoyuncular Theatre d’Istanbul dans une traduction-adaptation et une mise en scène de Ferhan Sensoy, réunissant »Atroce Fin d’un Séducteur » et « Dona Juana » sous le titre « Don Juan ile Madonna ». Trois saisons à guichets fermés.


-création en français à la Villa Beaulacre, Genève, dans une mise en scène de Agnès-Maritza Boulmer

-1985 diffusion sur France Culture avec Fanny Cottençon, Philippe Laudenbach, François Chaumette.

« Vous avez un excellent dialogue vif et drôle et de plus, ce qui est rare, vous avez du style. »

Jean Anouilh

La presse :

-« Étrange créature à laquelle Don Giovanni ne peut résister : il lui confie les plus intimes de ses secrets… pour sa perte, et pour le plaisir du lecteur et du spectateur. »
André Camp


-« La presse a souligné unanimement les très grandes qualités du texte, dernier combat verbal et sensuel de Don Juan qui finit par… tomber amoureux, seule véritable bien que douloureuse rédemption. »
David Mac Touch - L’avant-Scène théâtre


- « Une belle leçon de chasse à l’homme. »
Le Parisien


-« L’affaire est rondement menée, le texte est servi avec clarté. À la fin du spectacle, on en redemanderait. »
24 heures de Lausanne


-« Un petit bijou. »
Jeunes à Paris


-« L’arroseur arrosé, le séducteur séduit ! C’est drôle. »
France Inter


-« Don Juan croqué par une femme… C’est divin. »
Vaucluse matin


-« L’humour et l’intelligence rivalisent pour donner du plaisir aux spectateurs. C’est rare et réconfortant. »
L’Avant - Scène théâtre


-« une comédie astucieuse, pétillante, d’un cynisme très XVIIème siècle. Les personnages, ciselés avec netteté, s’inscrivent tous dans la mécanique théâtrale comme des rouages essentiels. »
Vincent Philippe - 24 heures


-«  Le premier Don Juan écrit par une femme. »
Benoît Vitse